Avec la prolifération des équipements informatiques, l’hygiène est aujourd’hui plus que jamais un réel problème de société.
Rendez-vous compte qu’une infection respiratoire, une toux ou un éternuement suffisent à disperser ces micro-organismes et à augmenter sensiblement les risques de contamination de tout un entourage. Ainsi, certains virus de la grippe ou du rhume peuvent survivre plusieurs jours. Avec le temps passé au bureau, ces saletés se régalent.
Et qui plus est, la résistance croissante des bactéries aux antibiotiques pose un défi majeur sur le plan de la santé publique, sans compter
le coût de l’absentéisme au bureau.
Par conséquent, l’hygiène doit impérativement être améliorée afin d’éviter les infections.
Les équipements informatiques et bureautiques nécessitent donc un entretien régulier. Nous recommandons au minimum deux interventions par année afin de conserver un aspect de propreté et maintenir une bonne hygiène du matériel.
Il est bien entendu que des environnements contraignants peuvent nécessiter un traitement plus suivi. En fonction du contexte, nous déterminons quelles sont les mesures à prendre et quelles sont les fréquences optimales à adopter pour conserver un équipement dans de bonnes conditions.
De sérieuses enquêtes scientifiques britanniques et américaines affirment que les claviers d’ordinateurs abritent des bactéries et des virus clairement dangereux pour la santé. Certains peuvent même être 5 fois plus sales et contenir 400 fois plus de bactéries et de virus qu’un siège de toilettes, avec un risque élevé de rendre malade leurs utilisateurs.
Le clavier le plus sale avait même une teneur en bactéries néfastes 150 fois supérieur à la limite maximum et pouvait notamment causer des symptômes d’intoxication alimentaire.
Au palmarès des nids à microbes et dans le top 3 des objets crados, véritables viviers à maladies, le téléphone tient la tête, devant le bureau et le clavier d’ordinateur. Surprise ! La cuvette des toilettes est loin derrière.
Il est donc primordial de mettre au point une stratégie d’intervention, ainsi qu’une fréquence de désinfection et de nettoyage afin de réduire les risques de transmission de germes non désirables.
Il en va de la bonne santé et du respect des collaborateurs.Propreté = prévention à l’absentéisme